Bois de charpente, racine, bois ramassé au hasard des promenades. Essences multiples.
Il y a le bois qui se laisse prendre au couteau.
L’autre, qui s’approche rudement à la scie tellement dur à apprivoiser, celui là encore au ciseau.
Et puis patiemment, la caresse du polissage.
Il y a la pièce minuscule et la plus grande, et toujours de la rencontre. Mais toujours dans l’approche,
une courbe, une veine qui appelle à faire sortir l’oeuvre de la matière brute où elle se love.